Né en 1989 à Toulouse, Ito Dubois peint depuis ses 14 ans. Après des études de droit parsemées de poussées créatives encore contenues, le jeune homme décide de « devenir soi » à l’instar du livre de Jacques Attali.
Une révélation.

Dès son plus jeune âge, Ito trouve dans la peinture une forme de défouloir cathartique pour se libérer de ses visions et de ses émotions. Autodidacte, il peint comme il respire et sa volonté de devenir Artiste se précise , si tant est qu’on puisse le devenir et qu’on ne le soit pas de façon innée ! « Mes amis ont commencé à vouloir m’acheter mes oeuvres. Simultanément, pour mes 25 ans, ma petite soeur m’a offert un livre de Jacques Attali intitulé « Devenir soi » dans lequel il dresse des portraits de personnes, notamment des artistes, qui se sont libérées des déterminismes (sociaux, religieux, sociétaux) afin de « devenir eux ».
Ma soeur m’avait rajouté un petit mot manuscrit me disant que ” se donner les moyens de ne pas être avocat était peut-être plus difficile que se donner ceux de l’être “…

Dès lors, les tableaux d’Ito ont pris vie de façon protéiforme avec une énergie créative insatiable. D’abord, une série abstraite, « en nage »où Ito s’illustre dans la technique du dripping – c’est le fait de laisser dégouliner la peinture du pinceau ou de la projeter vigoureusement sur la toile – afin de retranscrire ses sentiments, ses émotions.
Féru d’Art contemporain, très tôt initié aux grands maîtres, Ito se nourrit de tout ce qu’il voit et qui lui procure une claque émotionnelle. Hyperréactif, hypersensible, il a fait bien du chemin depuis sa première toile, réalisée à 14 ans, qui trône encore chez ses parents.

« Le premier buzz, je pense que cela remonte à 2015 lorsqu’une de mes amies, Marie-Catherine Compiegne-Jary, m’a offert la possibilité d’exposer au Salon des Antiquaires et des Arts contemporains, qu’elle organisait, en me laissant le couloir d’accès au Salon qui devait faire une quarantaine de mètres linéaires et que j’avais totalement investi avec une douzaine de tableaux dont le plus grand mesurait 300 x 110 cm. Je la remercie encore aujourd’hui. Le dernier buzz je pense que ce serait une de mes oeuvres « Red Miky » qui s’est vendue 8000 euros lors d’une vente aux enchères caritative au mois de décembre dernier. C’est gratifiant »

Epanoui, investi, Ito Dubois ne ressemble pas aux artistes maudits qu’on imagine puisqu’il réalise ses rêves un peu plus chaque jour, libre et inspiré : « Ce que je préfère dans l’art c’est l’absence de limites, il n’y a pas de règles, ca en fait toute sa puissance. »

Votre resto préféré à Toulouse ?
J’en ai beaucoup ! Je ne peux pas en citer un, il y en a beaucoup que j’aime.

Le métier que vous rêviez de faire ?
Artiste, ça se passe plutôt bien !

La personne que vous admirez le plus ?
Mes parents !

Un moment parfait pour vous c’est quoi ?
C’est quand j’arrête de penser et que je profite du moment présent.

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