Directrice de la Communication de Toulouse Business School

Diplômée du Programme Grande École de TBS, Alexia Anglade a fait ses armes dans des agences de publicité et à la communication de Capgemini Sud (aujourd’hui Aerospace & Defence). En 2010, elle rejoint les bancs de son ancienne école TBS en tant que  Directrice de la Communication puis Directrice Marketing & Commercial.

5 Questions

Votre petit-déjeuner idéal ? Le week-end en famille, au milieu de la matinée,en mode brunch sucré et salé.

Votre resto préféré à Toulouse ? Le Café Parisien à Victor Hugo

Le métier que vous rêviez de faire ? Comédienne de théâtre ou écrivain.

La femme que vous admirez le plus ? Aung San Suu Kyi

Un Dimanche avec Alexia Anglade ? Alors c’est un peu tout et son contraire : une promenade avec des amis comme une journée DVD et cheminée avec mon fils !

 

42 ans, maman d’un petit garçon de 8 ans, Alexia Anglade mène de front vie privée et vie professionnelle. En effet, la Dircom de TBS (Toulouse Business School) mobilise chaque jour son équipe pour accompagner le développement de l’École. C’est dans l’univers élitiste et concurrentiel des business schools qu’Alexia évolue : « il est essentiel de se maintenir dans les classements pour recruter les meilleurs étudiants au niveau national et international » explique Alexia Anglade.

Quand on évoque avec Alexia Anglade la parité hommes/femmes au sein de TBS, elle nous assure que le management est enseigné à tous dans une égalité numéraire quasi parfaite. « Les jeunes filles que nous formons sont de vrais leaders. Elles réussissent très bien leur scolarité et décrochent en parallèle les rôles à responsabilité dans nos associations étudiantes. » Pour la jeune directrice, c’est dans le monde du travail que les choses se gâtent.

« Nous travaillons au sein du Comité RSE de TBS sur un projet destiné à soutenir la carrière des femmes. Nous constatons dans les prétentions de salaires ou d’évolution de carrière que nos jeunes diplômées ont tendance à se sous-estimer par rapport à leurs camarades du sexe masculin. Cela peut expliquer en partie les inégalités qui se retrouvent dans les entreprises. Nous avons mis en place dans la pédagogie du programme grande école un dispositif de coaching pour leur faire appréhender cette “autocensure” inconsciente et nous sensibilisons aussi les garçons pour éveiller leur vigilance de futurs managers. »

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